Présentation - Ecanta Ebano

Informations
Nom: Encanta ébano
Âge: jeune adulte
Sexe: mâle
Race: terrestre
Cutie Mark: Une bougie bien droite et violette
Ville de résidence: Ponyville
Métier: Service de pompe-funèbre

Descriptions

Mental: Depuis peu, il commence à présenter le même caractère 'original' que son aïeul, mais malgré son amour pour le sinistre et le funeste, ses problèmes insanes actuels, et son style d’accoutrement noir, il s’agit d’un individu remarquable. En vérité, c’est un individu, pour le moins, très sympathique, n’ayant rien contre son prochain ou contre la sociabilité, il est sans tabous ou gêne particulière.


Physique: Un visage assez court, une ossature quelque peu proéminente, un grand regard naturel, d’une taille moyenne mais tout maigre le pauvre, il affichait toujours un sourire donnant des petits airs hautain mais en réalité étant hagard. Des cheveux gris, totalement en bataille, coiffé au gel et mis sur le côté, des yeux marrons assez sombre, une robe grise ainsi qu'une barbe bien taillé et une fine moustache… C’est tout quoi… Voilà en ce qui concerne la partie charnelle, l’individu se démarque mieux par son style légèrement déphasé dans des tons très noirs avec le contour des yeux ainsi que des paupières noirs et des habits sombre dans des style assez vieux.

Histoire: - Je m’appelle Ecanto Ebano, je vis avec mon père et ma mère dans une maison solitaire au bord de Manehattan. Il y a 3 mois, c’était mon anniversaire, mon grand-père m’a offert, en retard, un livre qui déclencha un déclic en moi. Je ne le revis plus jamais par la suite. Ce livre raconte plusieurs contes, épopées et légendes. Toutes basés autour d’un monde lugubre aux ambiances funeste. Cet univers ambigu me passionne bien plus que le monde réel.
J’ai passé ma jeunesse dans mon univers sombre, flânant librement sans avoir de grandes perspectives d’avenir, mais aujourd’hui j’ai l’âge de quitter le foyer familial pour m’adonner à ma propre vie. N’ayant jamais conçu un plan pour mon futur et mes parents ne m’ayant jamais fait découvrir quoi que ce soit, je suis lâcher dehors, l’individu face à la société. Travailler dans une entreprise de pompe-funèbre me semble la seule chose à faire, cela correspond à mes amours noirs et peut-être qu’être entouré perpétuellement de la mort me rendra sensible au simple fait de respirer.
Je fais mes adieux à mon père et ma mère, je trouve un service de pompe-funèbre, on me prend comme apprenti. Nous sommes 3 dans ce service ; une espèce de bossu aux airs maniaco-dépressif se chargeant principalement des soins de conservations des corps, il ne dit jamais rien. Le grand manitou, Great Elation, un nom assez ironique pour sa profession et ses airs hautains. Si une quelconque force insondable pouvait m’accorder une faveur, ça serait de ne jamais avoir rencontré ce poney qui est l’origine de mes maux. Nous partageons la même passion pour la littérature lugubre, même s’il me semble qu’il prenne ça trop concrètement. Malgré ses compétences, son éloquences et ses airs sympathiques quoique un peu condescendant, il me semble qu’il ait perdu la raison et je me soucis de son état. Il me dit que les créatures et les monstruosités de ces livres lui parlent directement dans ses rêves. C’est absurde, mais c’est une question de point de vue alors je ne dis rien…
Ma formation dans ce service est terminée. Great Elation et moi sommes devenus bon ami, il tient à me féliciter pour le travail que j’ai accompli et m’offre un énorme et vieux grimoire sur lequel sont basés certains de nos contes favoris. Une pièce unique dit-il, très rare. Il sait que je pars terminer ma formation à Canterlot et que ipso facto, il ne me reverra pas. Il ne me manque qu’une chose pour ouvrir ma propre entreprise, 150 heures de formations pour obtenir un diplôme de thanatopracteur. 150 heures pendant lesquels j’apprendrai à vider des corps inanimés de leur sang pour les remplir d’une certaine résine. Triste cela semble mais pour moi, ô quelle joie !
Je suis dans le train pour Canterlot, j’ai pris avec moi le grimoire qu’Elation m’a offert. Sa couverture usée dégage une aura intriguent qui me donne envie de le lire. Mais je me sens un peu désemparé, les écrits de ce livre sont dans une langue indescriptible, je ne peux interpréter aucun symbole, je ne sais même pas de quelle peuplade sort cette langue. Je scrute le livre et un mémorandum tombe d’entre deux pages. Le papier ne semble pas vieux, et c’est dans notre langue. C’est écrit par un certain Cobalt Descent, il réécrit certaines phrases plusieurs fois, l’écriture n’est pas fluide, il se plaint du livre, qu’il serait maudit. Il est notamment marqué chercher Dragón rojo. J’ignore de qui il s’agit, et je suis arrivé à Canterlot de toute façon.
Je me suis souvent demandé si les autres poneys prenaient le temps de réfléchir à la signification, aussi magnifique ou effroyable soit-elle, de tous ces mondes cabalistique et inaccessible. Je n’arrive pas à enlever les images de ce livre qui stagne dans ma tête.
Je suis prêt pour ma formation de thanatopracteur, j’ai la plus-value de recevoir l’enseignement du diplômé Black Hunter. Pas qu’il soit réputé ou la crème de la crème en matière de momification, mais il s’agit d’un ancien ami de mon grand-père, cela m’apaise de savoir que je vais apprendre avec un ami de l’homme qui a le plus influencé ma vie à présent. Son regard est très pénétrant, sa carrure est très impressionnante, c’est un véritable mastodonte ! Il parle très vite et répond à mes questions de manière très intelligible, il m’apparaît comme un individu respectable. Du temps s’est écoulé, je termine ma formation demain, avec de l’argent que la banque m’a accordé et une part que mes parents ont mis de côté pour moi, je compte ouvrir ma propre entreprise. Je ne sais pourquoi, mais lors de cette dernière journée, j’interroge Black Hunter sur ce qu’est devenu mon aïeul, tout le monde le croit mort dans la famille. Il me répond sur des tons arrogants et un tantinet moqueur qu’il ne l’est pas, mort. Il est en vie, il me dit qu’il est parti vivre loin et qu’il peut me fournir le journal qu’il tenait avant son exode. Ce qu’il fait. je le vois pour la dernière fois et il m’offre le journal de mon grand-père.
Son journal ne révèle rien sur la plupart des pages, mais vers la fin, à ma stupeur ; les pages prennent une autre ampleur plus dramatique. Il dit être aller trop loin, qu’il détient un secret que nul être conscient ne doit savoir, il doit partir avant que cela ne lui échappe. Cela ne veut rien dire… Quel problème peut-il avoir pour s’exiler ? Sur la dernière page, il trace un itinéraire ; Appleloosa – Manehattan – Ponyville – Manehattan – Canterlot – Ponyville - … Le schéma est effacé et s’arrête à Ponyville. Je m’attarde sur la signature, il est marqué son nom suivi d’un étrange X Dragón rojo…
Je me sens totalement désarçonné, possèderait-il les réponses par rapport à ce grimoire étrange qui me hante l’esprit depuis le jour où j’ai –in extremis- osé l’ouvrir ? Chaque personne ayant un rapport avec ce maudit livre semble avoir basculé dans la folie. Je sens l’appel du grimoire, je résiste tant bien que mal d’ouvrir le livre et de chercher la signification de cet étrange langage. Je dois retrouver mon grand-père avant que je finisse comme lui et que je ne puisse plus vivre de moi par moi.
Le dernier lieu où il semble s’être rendu est Ponyville, j’installerai mon service de pompe-funèbre là-bas, le journal mon aïeul donne certains indices sur les agissements qu’il eut dans ladite ville.
Maintenant, face à l’indicible, je n’ai plus qu’à tenter de vivre normalement tout en recherchant sa trace.
(HRP : c’est long et mal écrit, désolé.)

Goûts
Aime: L'art, l'esthétique, et les autres conneries en rapport avec cette déchéance.
N'aime pas: Surement plein de choses banales en vie commune.
Phobie: ‘Sait pas.


Hors-roleplay
Prénom: Cessez de m’importuner avec vos questions !
Âge: 18
Comment avez-vous découvert ce forum: J’ai déjà un personnage sur ce forum.
Le code : Okay by Golden

Rien le matin, rien le soir.
Je commence à me soucier de votre indifférence. Je sais que tout cela n'excède pas du Hugo — ça s'apparente plus aux travaux du potentiel petit frère attardé de Stephen King en fait —
je me cherche un prétexte pour RP, point final. Ainsi, s'il y a le moindre problème, allant de l'incompréhension au manque d'originalité ou au surplus de stupidité, il serait avantageux de le signaler, isn't it ? Je n'ai pas envie de passer mon temps à compter les clous de la porte.

... Ouais, ouais, ouais. Double post, je sais.

C'est pas mon rôle, mais je te valide. Enjoy the fun.