Balade à Ponyville. [Libre]

Qu'est-ce que j'ai fais ? Je ne m'en rappel plus trop, je me rappel de ce poids sur mon cœur et que j'ai créer une sorte de rêve. Je crois que le chaos engendrer par la zèbre ma atteins et que j'ai commencer à agir de manière tout aussi bizarre moi aussi. En attendant je dois m'assurer que je ne referai pas de mal à mon cher professeur, alors je prend la première apparence que j'ai eux ici: Wild Peanut *Lien*

Voila, maintenant je peux errer de nouveau dans les rues de Ponyville, je me demande si je vais croiser des poneys, peut-être qu'on deviendra amis... Ou que je leur feraient du mal à eux aussi. Avec mes diverses apparences je pourrai faire bien plus que connaissance, mais je ne veux pas y penser, je ne dois pas y penser sinon je vais encore ne plus pouvoir réfléchir à rien d'autre. Je ne suis qu'une simple ponette qui marche dans une ville qu'elle ne connait pas et qui dans son cœur est toute autre que ce qu'elle montre. Wild a un esprit de fer et fait ce qu'elle veux... C'est ridicule pour une poney hybride comme moi de me faire passer pour elle non ? Bref, je me demande si je vais rencontrer des gens ici.

Crimson Reg rentrait chez lui, un livre dans son sac. L'air stoïque, comme si le dénouement de la discussion qu'il eut avec le bibliothécaire ne l'eut surpris, tout cela était axiomatique apparemment.
La tête levé, le pas assuré, appréciant la vue du ciel et des nuages, Crimson chantant.

La face nue, ils l'ont mis en bière.
Tralalala lonlaire
Et sur sa tombe bien des larmes coulèrent.

Telle une brindille voletant dans les airs, il ne regardait pas où il allait, sa perception du terrain le guidait.
C'est en se cognant sur quelqu'un qu'il se réveilla, le livre et sa cigarette tombèrent.
Il avait bousculé par accident un poney, femelle vu le physique, a longue crinière rousse.
Il la voyait. Il la voyait comme il voit peu de monde et pas un détail de son visage ne lui échappait.

Ô Voltaire, ô Celestia, ô sottise ! Désolé, vraiment navré, dit-il au poney qu'il eut bousculé, j'avais la tête dans les nuages, la mer céleste. Qu'on me pardonne si je vous ai blessé, pas de mal ?

Il jeta un regard déçu au sol, où se trouvait le livre et ce qu'il restait de sa cigarette. Il ramassa le livre et dit au poney en face :

C'est étrange, je ne vous avait jamais vu, et pourtant j'ai une mémoire épisodique. Bon, je n'avais jamais vu non plus le bibliothécaire avec ses aires de poney de fer (HRP: réf: Staline). Ce que je dis, aussi banale que ce soit, éveille votre curiosité sociale et votre instinct grégaire ou comptez-vous vous aussi rester égal à l'égard de toute expression ?

Il se ralluma une cigarette.

Vous en voulez une ? Dit-il, comme gage d'excuse.

(HRP: ca va ou... ? )

Et bien ma chère Wild Peanut, tu voulais rencontrer des poney justement... Tu viens d'en remontrer un poney de manière bien physique. C'est fou le nombre de poney qui se rencontre en se bousculant par inadvertance, est-ce une convention social que je n'ai pas remarqué jusqu’à présent ? Enfin soit, je l'observe et n'oublie pas qui je suis en ce moment. Donc quand il me demande s'il m'a fait mal, je rigole de manière franche et ouvertement avant de dire avec un sourire.

"Mais non voyons, je ne peux pas en dire autant pour votre clou d'cercueil."

C'est fou comme le théâtre et le mensonge peux changer un poney et sa manière d'agir et cela tombe bien j'ai partager ma vie entre les deux. C'est un peu comme si je rentrai dans une bulle et que le personne que j’interprète anime mon corps, cette absence de mon vrai moi et le seul moyens que j'ai d'être suffisamment crédible pour tenir certains rôle. Je lui laisse le temps de constater que le corps sans vie de sa cigarette déchu est irrécupérable et de reprendre son livre. Et bien il parle bien le bougre, peut-être même trop bien, je ne suis pas censé pouvoir tout comprendre sous cette forme.

"Hola mon grand, j'ai pas tout suivi j'ai une petite caboche ! Fin' moi non plus je ne te connais pas sinon je m'en rappellerai sûrement. Chui Wild Peanut et nope je ne suis pas fana d'la sucette à cancer."

Je fais un petit tour de l'étalon, ça me permet au passage de voir sa Cutie Mark que je note dans mon esprit et surtout de le voir sous toutes les coutures.

"Et bien nom d'un p'tit chariot c'est qu'il a fier allure, sans offense bien sûr il ne lui manque plus que le sourire pour être beau comme un prince !"

Tentative d’interagissement social, un compliment lancer de la manière la plus naturel possible, respecte réussir à discuter longuement avec lui avant qu'il ne me laisse seule pour une raison ou une autre. Poney de fer Bibliothécaire ? Cela me rappel quelques chose ? Non je ne connais pas de poneys gris et/ou au tempérament froid.

Crimson regarda avec stupeur le jeune poney (HRP: forme neutre, je sais devant quel sexe je suis face). Quelle prosodie libéré, quel style de langage eh... '' épuré ''...

Comment Crimson était sensé réagir face à un tel comportement. Un compliment sur sa personne survint. Il répondit d'un '' Je sais ''

Oh, pardonnez-moi ! Dit-il, je trouve votre crinière rousse ravissante également. Mais pensez-vous qu'un quelconque Dieu vous protégerait avec un langage tel ?
...

Mettant ses complexes de côté un instant, il prit l'un de ces aires de grand dragueur que l'on ne trouve que dans les contes
Me voici, commença-t-il, Crimson Reg, vivant au jour le jour, le passager de ce corps. L'étranger
Il la regarda au fond des yeux et dit :
'' Mais c'est une fable ! Si vous étiez un démon je ne pourrais vous tuer ''
Un sourire.
Contente ?

*Hum-hum*, et sinon, que faites-vous en Ville ?

Et bien espérons que j'arrive a interagir avec ce poney. Enfin j'ai déjà la vague impression que cela ne va pas être très facile, déjà dés le débuts je ne suis pas sûre d'avoir tous saisi et ça continue. Je sais ? Au moins il n'est pas timide, protéger par un dieu ? Quel dieux ? Je ne comprend vraiment pas la.

"Un dieu ? Et bien si tu parle des reines du jours et de la nuit elle ont bin d'autres choses à faire que de protéger une simple voyageuse comme moi."

Dit il avant de rependre un air auquel je ne me sent pas indifférente, doublement même autant pour Wild Peanut que pour moi. Puis il se présente, Crimson Reg. Par contre je n'ai pas bien compris ce qu'il veux dire par vivre le jour le jour, comme moi quand j'étais sans maître ? Pour la suite j'ai encore plus de mal à comprendre ce qui se passe en réalités. Une fable ? Démon ? Me tuer ?! J'ai du passer d'un air légèrement rougissant à un visage perplexe.

"Je serais contente d'arriver à comprendre le sens de tes paroles Crimson Reg... Et pour ta question, je vagabondais sur les routes et j'ai vu cette ville que je n'avais jamais vu, par curiosité je susi venue faire un ptit coucou."

Puis même si je connais pertinemment la réponse, il faut bien entretenir l'illusion.

"Vous êtes tous avec un langage aussi bizarre et soutenue dans ce patelin ?"

L'expression de la jeune pris une toute autre allure, à présent elle semblait indécise, ne comprenant pas mes propos.

"Vous êtes tous avec un langage aussi bizarre et soutenue dans ce patelin ?"

Désappointé il la quitta regarda, savaté.
Eh... Non, je... Je me suis toujours exprimé de la sorte. J'ai toujours considéré ça comme logique d'exploiter notre langue à son paroxysme. Elle est d'une beauté, il faut savoir utiliser les strophes.
Je ne veux pas finir en un crapoteux glandeur qui détruirait quelque chose d'aussi élaboré, c'est mon choix grossomodo, je souhaitais surtout vous abordez de la manière la plus charmante possible, coeur d'artichaut et gentleman que je suis. Ne le prenez pas mal, ça fait du bien -des fois- de rencontrer des gens plutôt que de rentrer chez soit, tout les jours, et être confronté à dame Solitude et aux dires d'un ouvrage de Poneysquieu (HRP: réf ; Montesqieu ).
C'est mon destin il faut croire, j'ai plus de 30 ans de maison maintenant.

(HRP/EDIT ; tout compte fait... Je n'ai pas l'impression que cette 'tirade' ouvre l'accès à une réponse. Me contacter si ça ne va pas.)

J'ai dit cela, maintenant attendons la réponse. Quand j'ai vu ce regard désappointer, une part de la vrai moi n'a pas pu s’empêcher d'interagir... J'ai si peur de faire du mal et c'est ce que je viens de lui faire, le pauvre je suis réellement un monstre. Mais avant de pouvoir ouvrir la bouche véritablement désolé ce qui est visible dans mon regard il me répond en bon gentlecolt. Alors il est unique en son genre il n'y a pas de doute la dessus ce qui me frappe le plus et qu'il est un peu ce que j'étais il y a peux, une personne seule qui cherche de la compagnie. Je ne sais que trop bien comment le fait d'être diffèrent d'une manière ou d'une autre force à l'isolement pour ne pas recevoir de cailloux dans mon cas.

"L'énergie que tu met dans cette sauvegarde de la langue est tout à fait louable et mérite même un chti présent."

Je me place devant lui et sans crier gare lui fait une bise sur la joue avant de me reculer en rigolant, j'aime interpréter Wild Peanut, c'est celle qui est le plus proche de moi, elle aime aussi distribuer un peu de tendresse autour d'elle. La principal différence et qu'elle ose le faire elle.

"C'est un charme de chance, mon p'tit sabot me dit que tu ne sera plus seul grand dadais."

Bon cela n'a strictement aucune valeur que ce soit en terme de magie ou scientifiquement. Peux importe le principal c'est d'y croire ! Un petit rire plus tard je le regarde droit dans les yeux avant de dire avec un grand sourire.

"Gare à toi à force de dire cœur d'artichaut, je risque d'essayer de te chaparder une feuille."

Je lui laisse à peine le temps de réagir avant de lui tirer la langue. Je l'aurais bien inviter à aller boire ou grignoter un petit quelques chose, mais je suis sans le sous et de toute manière je ne saurais pas m'y retrouver ici.

HRP:

Je peux dire qu'au fond la satisfaction remplaça vite mes desiderata.
Ce doux larcin eut l'effet de rallumer la lumière au fond de moi. C'est la chance qui me sourit !
Serais-je en train de me lier d'une amitié homéopathique ?

Spoiler:

Si c'était le cas, ma conduite pouvait-elle lui inspirer confiance dès que je ferais la moindre erreur ?
Je tente de repousser l'idée sotte qui est de proposer une collation à cette inconnue.
Oserais-je ?

La tutoyant, tu te dis vagabondant non ? Tu es jeune, et il semble que c'est une vie qui doit te plaire, enfin... je l'espère pour toi. Mais ça ne doit pas être très productif en terme d'argent ! Et d'après les dires de quelques gens, il y a des resto' pas mal dans le coin. Puis-je t'offrir un café sans trop m'imposer ?

Spoiler:

Malgré le fait que je sois seule au milieu d'un terrain presque inconnue je m'en sort pas trop mal. Je dois dire merci à Wikepedia et les longue discussions qui m’ont permise d'en apprendre asses pour ne pas dire de trop grosses bêtises dans cette ville. Enfin c'est vrai que les us et coutumes d'ici sont en réalité bien moins compliquer que dans notre époque ce qui est rafraîchissant. Même si ma première rencontre en solitaire et disons, asses particulière on va dire. Enfin je suis sûr que derrière ce mur de paroles étranges il y a effectivement un gros cœur tout chaud et doux qui n’attend qu'a se rapprocher d'autres.

Je pense que je profiterai régulièrement de mon droit de vagabonder ou des voyages de mon professeur pour aller le voir, je n'ai pas envie qu'il soit de nouveau tout seul je connais bien trop cette sensation. Est-ce que c'est ça le libre arbitre ? Est-ce que je suis simplement en train de décider de moi-même d'une chose totalement en dehors de toute prérogative que j'aurais pu un jour recevoir ? Dans ce cas c'est moins... Effrayant que d'habitude, même si je me demande bien comment tout ça va bien finir et c'est ce qui m’inquiète, je n'ai jamais été très longtemps sous la même apparence avec le même poney.

Par la suite quand il reprend la parole, je l'écoute avec un grand sourire, oui ma vie ainsi a tout pour me plaire même s'il ne sais pas comment en réalité et je ne compte pas le lui dire, café... ah oui ! Cette boisson servit chaude et un peu amère qui redonne plein d’énergie si je me souviens bien, je suis plutôt habitué au thé pour ma part.

"Je n'en ai jamais bu, mais qui pourrai refuser une invitation d'un tel gentlecolt ?"

Maintenant une question qui semblera futile... Je suis censée le coller comme les gens de mon époque ou alors rester naturel comme à la sienne ? Je... Si seulement j'avais une pièce pour décider à pile ou face, puisque je ne peux pas me remettre à la chance il va bien falloir que je me décide. Jouons la carte de l'amitié qui commence à nous unir, je suis donc a coté de lui mon flanc frottant délicatement le sien.

"J'en ai entendu parler, mais nom de nom je me demande bien qu'elle ptit goût il a ce fameux café."

Elle se place à côté de moi. Cela ne me gêne pas, je me sens un peu libéré.
Mon regard se tourne vers elle, et je lui dit : << Tu es plus rousse que moi. >>

Je commence à marcher, je tente de me repérer sur le terrain. Je ne vais pas souvent manger autre part que chez moi. Je ne suis pas vraiment sûr d'où je vais. Je ne souhaite pas que cela s’apparente trop alors j'essaie de discuter en reprenant sur ses dernières paroles.

A vrai dire je ne suis pas vraiment café, c'est un peu trop amer à mon goût, mais je suis un grand fana de thé ! ... Bon, maitenant il faut pauser les vraies questions ; peux-tu boire plus que ce que mon porte-monnaie pourra supporter ?

Spoiler:

Alors que je me suis rapprochée de Crimson Reg qui me dit que je suis plus rousse que lui... Je ne comprend pasl e rapport en fait et légèrement perplexe ne trouve rien de mieux à dire que.

"Heu ? Oui ?"

En fait ça tombe comme un cheveux sur la soupe, peut-être une pensée qu'il a eu en me regardant, je ne sais pas en tout cas il me semble pas que le fait d'être plus roux qu'un autre est un bien ou un mal, je vais simplement rien dire de plus sur le sujet alors. Puis il reprend la parole pour dire qu'il est plutôt partisan du thé et la suite à mit un moment à monter jusqu'a mon cerveau.

"D'instinct je vais dire que je pense préférer le thé, mais qui ne tente rien n'a rien il va bien falloir que je goute..."

J'allais continuer ma phrase, quand je me suis arrêter net à la suite de sa phrase, boire plus que son porte monnaie peux l'accepter ? Pourquoi il m'invite à boire s'il a un problème financier ? Je le regarde d'un air très, non excessivement gênée sans pouvoir y changer quoi que ce soit.

"Ah non non non non non non ! Si tu as des soucis d'argent je peux pas accepter que tu me paye a boire !"

Bas oui quand même, je n'ai pas envie qu'il meure de faim à la fin du mois.

Cette dernière phrase eut l'effet de réveiller en moi mon côté spiritualiste, l'argent représente-t-il un problème ? ... Quel aparté à moi-même idiot, bien sûr que c'est un problème en société, mais en tant qu'individu je n'ai que faire de ce côté matérialiste

Que veux-tu dire ? Ce n'est pas très poli de ne pas accepter un cadeau, dis-je avec un ton condescendant affectif.Je repris sur mon ton habituel pour lui dire : << Ce n'est vraiment pas un problème pour moi, l'argent n'est pas un ami fidèle et je mène une vie de cigale. Mais, cela me comble bien plus si ce bel or peut servir à délecter mon prochain. Et ce n'est pas comme si c'était ce qui était important. Je pourrais disparaître demain, cet argent partirait à vau-l'eau et disparaîtrait à son tour.
Il faut laisser mourir ce qui est beau pour pouvoir préserver ce qui est précieux. >>

Je regarde les commerces des rues, quelle jolie Ville, j'y vis depuis quelques années maintenant, mais je ne la connais pas vraiment tout compte fait. Je ne reconnais pas vraiment cette rue et je tente d’apercevoir un quelconque restaurant ou quelque chose de similaire pour se restaurer. Je m'arrête. Très bien, je dis, confidence ; je ne connais pas l'emplacement des restaurants de cette Ville, d'habitude je fais mon propre thé.

Spoiler:

C'était un vilain piège, même s'il n'étais pas préméditer comment je pouvais, je devais comprendre cela sans plus d'indice ? Il me dit malpolie, j'aurais été plus malpolie et méchante de le déposséder de ce qui lui sert à vivre. S'il insiste je ne peux qu'accepter, mais visiblement ça ne me plaît pas trop et il doit le voir, je n'ai pas besoin de faire semblant nous sommes toutes les deux d'accord. Enfin moi toute seule, moi et le personnage que j’interprète je ne vais pas commencer à jouer les schizophrène.

"Mouai..."

Ce sur quoi il enchaîne très vite sur une tirade ou il explique ce qu'il pense de l'argent et c'est très louable à lui de penser ainsi, moi je suis légèrement plus réaliste tout de même. Juste avant sa confidence.

"Excuse moi, mais j'ai un point de vu diffèrent. Néanmoins comme c'est un cadeau je ne peux plus rien dire."

Puis il me confis qu'il ne connais pas l'emplacement des restaurant, sur quoi je pouffe de rire avant de finalement rire franchement. Pas ce qu'il a dit, mais cet air pour le faire.

"C'est pas la mort, on trouvera bien !"

Pour le réconforter il a même le droit à un gros câlinoux et une autre bise sur la joue, il a intérêt à s'y habituer Wild Peanut est très tactile et c'est pour ça que je l'adore.

Et elle rit. C'est une bonne chose que je la fasse rire. Même si c'est à mes dépends de mon désarroi. Ce n'est pas grave, ce n'est pas comme si cela était méchant, je ne crois pas qu'elle soit malveillante, je ne la connais pas. Alors je me remis à marcher et je cherchai à approfondir notre amitié. Au risque de paraître fureteur j'engagea la conversation.

Puisque nous n'y sommes pas encore, arrêtons de parler à tort et à travers !... Donc, parles-moi de toi ; qu'est-ce qui peut pousser une si ravissante jeune femme à vagabonder sur les routes, et pourquoi t'arrêter dans ce petit bourg ? Je ne souhaite pas être trop indiscret je... Navré, je ne sais pas faire la conversation.

Je ne souhaite pas être un aria non-plus, je devrais peut-être prendre mes distances.

Juste après que j'ai rigoler, il reprend la parole et je commence à m’habituer à ces phrases longue et ce franc parler à sa manière. Ce n'est pas désagréable, juste particulier et j'imagine que c'est ce petite temps d'adaptation qui fait défaut à certains ? Bref il me demande pourquoi je voyage, ou plutôt pourquoi Wild le fait et pourquoi m’arrête ici ? C'est le début de la petite valse du mensonge puisque Wild Peanut n'est pas moi. Enfin elle elle ne ment pas puisque c'est la vie imaginaire que je lui ai créer.

"Parce que j'aime rencontrer plein de poneys et c'est la même raison qui m'a poussée à venir faire un petit tour ici. J'ai d’ailleurs été surprise, il ne me semblait pas qu'il y avait un ptit village aussi près de Canterlot, il a pousser comme un champignon."

Et je rigole encore à sa manière d'être.

"Dit donc mon beau, je suis suffisamment grande pour te dire si c'est indiscret ou non ? C'est pas comme si tu me lancé des graines à la figure hein !"

Je lui fais un clin d’œil avec un grand sourire.

"Soit toi même et si ça me pose un soucis je te le dirais."

Même si je ne fait que de passer par là, j'ouvris grand les yeux et pris mon pouls. Je sais que c'est un drôle de réflexe mais cela me prouvais que tout était réel.

Il faut bien admètre que c'est un drôle de réflexe, mais le jeune Jack venais de voir son genre de ponette, plutôt jeune et d'une robe orange mais orange. Et ne parlons pas de sa crinière, d'un rouge flamboyant. Il était rare de voir Jack se promener, mais dès que l'occasion se présente, il n'hésite pas à mettre les sabots dehors. Et voila qu'il réussis à voir des personnes avec qui il adorerais faire connaissance.

"Ça y est je suis sous le charme", pensa-t-il. Il l'était en effet. Jack est jeune et certes, il n'a eu aucune relation avec quelqu'un de sexe opposé à part un membre de sa famille. Donc oui, sa réaction est un peu pré-maturer.

"Pfff, de toute façon je n'aurais aucune chance de parler à ce genre de fille."
C'était la première idée qu'il c'est mise en tête. Mais il changeas vite cette idée en :
"Un jour ou l'autre elle finiras bien par visiter mon bar", avec le sourire aux lèvres.

Il continuas donc sont chemin et pensa à la probabilité qu'il y est un quelconque évènement qui puisse se produire pour les deux poney croisent ne serai-ce qu'une fraction de secondes le regard. Il en poussa un long soupir avec un petit rictus :
"Cela n'arriveras jamais."

Pour rencontrer des gens... Oui, ça semble logique, j'imagine...
L'envie de rencontrer des gens eut tendance à rendre ma vie plus compliquée pour ma part, mais après tout, si cela lui réussi pour l'instant, je ne peux m'opposer à ça.
Je ne suis pas sûr de ce qu'elle insinue quand elle dit '' il a pousser comme un champignon. '', je ne dois pas me dérober, nous sommes entrain de tourner en rond. Je connais sur le bout des sabots la nature environnante cette petite Ville, mais la Ville elle-même me dépasse totalement.
De l'aide ne serait de refus dans une situation aussi cocasse.

Bon, et bien... Hum-hum... Oh ! Il remarqua un poney non loin d'ici. Vous, jeune poney poneyvillois ! Sans outrepasser de vos fonctions, pourriez-vous aider mon amie et le grand touriste que je suis ? Voyez-vous, Je suis à la recherche d'un café, d'un restaurant, d'un bar ou d'un égal pour respecter certaines conventions sociales.

Je ne sais pas qui est ce jeune. Cela m'est égal. Pourvu qu'il soit sympathique voilà tout.

[HRP: Désoler pour le non respect de l'ordre, si il le faut je referais mon com]

Jack faillis avoir une crise cardiaque. en tout bon barman, il allait faire la pub de son bar, tout naturellement. Mais il n'en croyait pas ses yeux, il venait de gagner à la loterie, un passant lui demande si il connait un endroit pour une quelconque rencontre ou discussion sociale. Il etait au paradis.

En faisant exprès de ne pas prêter l'attention à la ponnette à la robe orange, il s’approchât, clopin clopan près du touriste.

"Enchanté très cher monsieur. Je puis vous proposer en effet un endroit qui correspond à voter demande. Si vous le voulez bien, je peut vous y emmenez."

Il était aux anges, mais réussis à garder son self contrôle et à adopter la posture parfaite devant ce genre de client. En effet une surprise de taille les attendait s'il ils acceptent sa requête.

Et bien alors que l'on est aussi perdu l'un que l'autre, on fini par être rejoins par un autre poney. Je ne saurais pas trop dire ce que j'en pense puisque je viens de le rencontrer. Enfin on verra bien si je dois me fier à ma première impression il semble ? Charmant ? Est-ce qu'il me le prouvera en étant en plus polie c'est ce que l'on va voir tout de suite. Tiens c'est bien aimablement que le bon monsieur va nous indiquer et même nous montrer le chemin vers ce lieux, quel bonne surprise !

"Ah c'est bien gentil ça ! Au fait moi c'est Wild Peanut et bi'n c'et que j'suis contente de te connaître."

Je m'approche de lui sans trop de subtilité et je dépose une bise sur la joue du gentlecolt qui viens d'arriver. Je lui fait un grand sourire puis je retourne à coté de Crimson Reg et je lui en fait un aussi de bisou sur la joue tant que j'y suis !

"Com' ça pas de jaloux, au fait toi tu peux m'apeller Wildy grand dadais."

Suite à un clin d’œil, j’attends sagement que le bon poney nous accompagne jusqu'au lieu de restauration.

HRP:

Ce jeune poney s'exprime de façon remarquable, cela met tout de suite en confiance. Je regarde ce personnage et rien ne peut le trahir pour l'instant. Il m'a parût très raisonnable et, somme toute, sympathique malgré ce stoïcisme.

Il s'approche et nous propose de nous aider.
Nous y emmener ? Dis-je, cela serait vraiment officieux et attentionné de votre part. Amenez-nous à votre chef ! ... Navré, cela fait maintenant 1 semaine que je cherche à placer ça dans une discussion.

Spoiler: